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Lors d’un projet de rénovation ou de construction, peut se poser la question de la pose du parquet. Actuellement, il existe 3 différents types de parquet : massif, contrecollé ou stratifié. Chacun de ces types de parquet dispose de ses avantages et de ses inconvénients, que nous allons vous présenter dans cet article.

Un parquet robuste avec le bois massif


La parquet massif est connu pour être le plus résistant de tous les types de parquet. En effet, ce dernier est composé à 100% du même bois. C’est cet élément qui lui offre une robustesse assez impressionnante. D’ailleurs, les lames de parquet massif sont très épaisses et varient entre 20 et 23 centimètres.

Le principal inconvénient du parquet massif est son prix. C’est effectivement le plus onéreux, mais également celui qui est le meilleur, en terme de qualité. D’ailleurs, grâce à l’épaisseur et la robustesse des lattes, le parquet massif peut-être plusieurs fois poncé sans s’abimer. C’est un investissement que l’on fait sur le long terme et qui apporte un véritable cachet à une pièce.

Les poses d’un parquet massif peuvent être les suivantes :

    La pose traditionnelle, c’est-à-dire que les lattes sont clouées sur des lambourdes.
    Le parquet peut être collé directement au sol avec une colle spéciale (solution idéale pour ceux qui veulent le faire eux-mêmes).
    Via des lames particulières que l’on peut clipser entre elles (pose flottante, également très bonne pour les travaux à faire soi-même).

En plus de cela, il est possible de choisir la couleur, la dureté, résistance à l’humidité et la rigidité du parquet massif, en fonction des essences bois privilégiées. Selon vos besoins et vos envies, ce dernier pourra également être vitrifié, ou bien même ciré, blanchi ou laissé au naturel. Le parquet massif pourra aussi avoir le style de votre choix : vieilli, brossé, teinté, etc…

L’alternative au massif : le parquet contrecollé


Le parquet contrecollé, n’est pas composé à 100% du même bois (contrairement au bois massif). Pour faire simple, ce style de parquet est composé de trois couches superposées. Ainsi, seule la couche supérieure (et donc visible) est faite de bois noble, qui lui donne cet aspect de parquet massif si apprécié. Les deux autres couches, sous-jacentes, sont fabriquées avec des dérivés de bois, beaucoup moins chers à l’achat.

Dans le choix d’un parquet contrecollé, ce qui compte c’est l’épaisseur de la couche visible. Cette dernière oscille entre 2 et 6 mm et indique le nombre de ponçages que vous pourrez faire sans l’abimer.

Le parquet contrecollé à une durée de vie importante, comme le parquet massif mais est moins onéreux. Son style et ses essences de bois peuvent également être choisies. Enfin, comme le parquet massif, le parquet contrecollé peut être cloué, collé ou clipsé.

 

Pour les petites bourses : le parquet stratifié


La plus grosse différence entre le parquet stratifié et les deux autres types de parquet vus ci-dessous, c’est que ce dernier n’est pas en bois. Il imite cependant très bien la fibre de bois, mais utilise des matériaux composites, superposés en deux couches :

    La première est la couche de résine (ou couche d’usure) et est celle qui apporte de la robustesse au sol.
    La deuxième est la couche décorative (souvent sous forme de papier ou de feuille spéciale) qui représente l’essence et le style de bois choisi.

Le parquet stratifié peut être décliné en de nombreux styles et couleurs, en plus d’être peu cher. Cependant, c’est un type de parquet qui s’abime beaucoup plus vite. Il est impossible de le poncer ou de le rénover. Il faut donc nécessairement le changer.
Pour l’installer, on utilise principalement la pose clipsée ou flottante, car c’est l’une des plus simples, rapides et moins chères. Il peut également être collé pour plus de résistance